HISTOIRES DE FANTÔMES

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HISTOIRES DE FANTÔMES.

Vers minuit, à la lueur de la chandelle, monsieur Henry Dickson, devant l'âtre où brûle des bûches d'érables et de vieux parchemins, se penche sur son écritoire. Tout est tranquille dans la grande maison, tout semble dormir et, soudain,
il y a ce bruit.

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HENRY DICKSON. QU'EST-CE QUE C'EST ?

QUI. QUOI. OÙ. QUAND. COMMENT. POURQUOI. PEUT-ÊTRE.

HENRY DICKSON QU'EST-CE QUE C'EST ?

HENRY DICKSON est le titre de ce roman

HISTOIRES DE FANTÔMES est le sous-titre de ce roman

Monsieur Henry Dickson est le personnage principal - le héros - de ce roman. 

On devine qu'il y a des fantômes et qu'il pourrait y en avoir d'autres.

Comme l'auteur aime les romans simples, il n'y a que 2 personnages.

Avec des seconds rôles ou des figurants utiles qui vivront et ou moins longtemps et mourront peut-être cruellement. Il se peut qu'ils soient déjà morts et que, pour une raison ou une autre, on parle encore d'eux. C'est tout à fait possible.

2 personnages. Henry Dickson. Et sa copine: la petite blonde.

POURQUOI FAIRE SIMPLE ? 

MAIS C'EST UNE EXCELLENTE IDÉE !

Le roman est écrit par un auteur imaginaire qui s'appelle lui-aussi Henry Dickson. 

Cote Dewey: D554

Parce que c'était une bonne idée à ce moment. 

Mais ce n'est pas un roman au Je. Et si, dans le roman, s'il y a parfois des artistes ou écrivains, on ne parlera jamais de celui qui écrit.

Parce que c'est généralement ennuyant. Quand quelqu'un écrit au sujet de sa vie dans un camp de concentration nazi, celui qui écrit au sujet de ses souffrances d'écrivains ou de sa panne de la page blanche...

Et l'auteur du roman est DOUTEUR

ET L'HISTOIRE COMMENCE

L'histoire commence par monsieur Henry Dickson qui achète une maison qu'il n'aurait pas dû acheter et qu'il n'avait nullement envie d'acheter. Parce que la dernière chose dont il avait besoin ou envie, à ce moment, c'était d'avoir une maison.

Mais dans le texte, l'histoire a commencé par une scène où on voit monsieur Henry Dickson dans sa maison. En train de lire. 

On ira ainsi, parfois, dans le jeu du temps. Avant ou après. Puisque tout est possible avec les mots.

L'histoire continue par monsieur Henry Dickson apprenant des choses au sujet de sa maison.

Parce que c'est une très vieille maison et qu'il s'y est passé des tas de choses.

On apprendra ainsi que beaucoup de gens sont terrifiés par cette maison ancienne

En cours du roman, puisque la vie amène régulièrement des tas d'emmerdements, il est alors normal que monsieur Dickson ait des tas d'ennuis. 

C'est au cours de ces ennuis que monsieur Dickson rencontre la petite blonde. 

Par hasard. Ou c'est le Destin.

Ou, plutôt, comme on l'apprendra plus tard, la petite blonde attendait que monsieur Dickson lui demande de l'aide. Ou, mieux, que les circonstances deviennent si déplaisantes que monsieur Dickson sera bien heureux et contents et, mieux, reconnaissant, que le hasard - mais il n'y a pas de hasard - place sur sa route une jeune femme qui n'a pour tout désir que de l'aider. Et qui est capable de le faire. 

Donc les ennuis de monsieur Dickson sont tout à fait satisfaisants pour la petite blonde

Mais veut-elle autre chose que se rendre utile ?

En fait, la jeune femme a d'autres désirs que monsieur Dickson qui, au début du roman, est plus vieux qu'elle. Et ceci ne changera pas au cours du roman.

Ce que veut la jeune femme, c'est la maison. Pour commencer: entrer dans la maison. Parce que, si elle peut beaucoup de choses - et on apprendra au fil de l'histoire, à quel point ses possibilités de nuisance sont grandes - il lui est impossible d'entrer dans la maison.

Ce qu'elle ne peut faire que si son PROPRIÉTAIRE lui donne la PERMISSION d'y pénétrer.

Ce que les anciens PROPRIÉTAIRES refusaient. Et que le DIABLE les enfourne dans son fourneau.

L'histoire commence donc mal parce que, avant d'aller mieux, ceci ira de mal en pis sinon il n'y aurait pas d'histoire.

Monsieur Dickson veut être seul. Ce qui explique que monsieur Dickson n'a aucune envie de voir débarquer chez lui une femme.

Comme il dit avec sagesse: il n'a pas besoin d'animal de compagnie.

Il a hérité avec la maison d'un chat et d'un chien ce qui est bien assez. Et il lui est impossible de s'en débarrasser. Et le chat s'entête à disparaître et réapparaître ici et là. Ce qui pourrait sembler bizarre à quelqu'un qui s'intéresserait à ce genre de détails. 

Mais le Destin fera que monsieur Dickson héritera d'une femme. En plus d'un chien et d'un chat. 

Malgré qu'il essaie de se simplifier la vie, celle-ci se complique sans qu'il puisse rien y faire.

Comme ils sont devenus au moment où on est rendu les meilleurs amis du monde, on devine que tout est allé pour le mieux. Chacun apprenant à apprécier l'autre.

Le roman est gratuit et disponible à la lecture. 

Comme pour tous les «messages» Google des blogs: le dernier texte ou la dernière page ou le chapitre actuel est en haut d'écran.

Si le lecteur veut commencer au début, il devra naviguer dans les archives datées.

Il apprendra ainsi que le roman ne commence pas véritablement à la page 1.

Parce que DOUTEUR à ce moment n'avait aucune idée de roman.

Le blog Henry Dickson devait servir de site d'archivages pour les messages et réponses qu'Henry Dickson - nom de plume ressemblant à un vrai nom parce que Radio-Canada obligeait ses lecteurs commentateurs à ne plus utiliser de nom ressemblant trop visiblement à un pseudonyme. Ce caprice stupide dura un temps avant qu'on cesse d'être trop exigeant. Après tout le nombre de commentateurs n'était pas suffisant pour qu'on décourage continuellement les bonnes volontés. 

Ce qui n'empêchait pas d'essayer stupidement.

Le site d'archivage servait aussi à conserver les textes refusés. Car des supposés modérateurs capricieux acceptaient ou effaçaient les textes. Certains pour d'évidents motifs de stupidités. Mais d'autres pour des phobies personnelles de castrés. La peur de perdre leur job sans doute.

Ce qui faisait que la moitié des textes envoyés par Henry Dickson étaient refusés.

D'où l'utilité du site d'archivage.

Qui, finalement, ne servit que brièvement à cet usage. Comme on le voit dans les première pages. Parce que l'idée ennuya vite. Et que la mémoire du traitement de texte suffisait.

DOUTEUR se vit donc avec un site inutilisé.

Il expérimenta donc.

D'où les images que l'on peut voir au début.

Commença l'idée d'un personnage appelé Henry Dickson. Comme si c'était un héros de BD. Ou de roman. Mais sans BD ou roman.

Ceci dura des mois.

Jusqu'à ce que l'idée première arrive.

Et la seconde. 

Comme un fil de laine tiré d'une balle de laine. 

Le roman continua jusqu'à ce qu'arrive une fin. L'accident d'avion.

Ce qui termina le premier tôme.

Et quelques mois plus tard arriva une seconde idée qui fit démarrer le second tôme.

Qui continua avec régularité. Les arrêts provisoires étant aussi fréquents que les nouveaux chapitres.

Le dernier texte datant du 25 décembre 2014.

Comme il n'y a pour le moment aucune idée pour la suite - même s'il y a dans le texte des questions qui doivent être répondues - il se peut qu'il n'y ait pas de suite.

Et cette fin paraît intellectuellement satisfaisante.

Mais il se peut qu'il y ait une suite. Ou non. 

Parce que DOUTEUR n'a aucune responsabilité en ce qui concerne l'avènement des idées. 

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Note. 4 février 2015